Mohanad ALJARAMANI (oud et percussions orientales) est né en 1979 à Sweida (Syrie).
Il a étudié de 2002 à 2008 à l’Institut Supérieur de Musique de Damas (classe de percussions et de composition).
En 2005, il est membre dans l’orchestre de musique traditionnelle de Damas.
Il collabore entre 2006 à 2011 à de nombreux concerts dans différents pays et se produit à partir de 2008 avec le « Trio Aljaramani » en compagnie de ses 2 frères, Khaled et Amjad.
Il participe à la création du groupe « Bab Assalam » en 2008 avec son frère Khaled Aljaramani et le clarinettiste français Raphaël Vuillard. Ils enregistrent l’album « Bab Assalam » (Ad Vitam/Harmonia Mundi), qui sera suivi d’une tournée.
Il participe avec l’Orchestre des jeunes de la Méditerranée (France/région PACA) à la création de l’oratorio « L’évangile selon Jean » pour Chœur mixte et orchestre d’Orient et d’Occident (musique d’Abed Azrié), qui sera enregistré en 2009 à l’Opéra de Damas puis au Festival des Musiques Sacrées de Fès, à l’Opéra de Marseille et enfin à l’Opéra de Nice (2 CD et 1 DVD Doumtak/Harmonia Mundi).
Il participe en 2011, avec l’ensemble d’Abed Azrié, à une tournée au Mexique puis en France.
Il réside et travaille en France depuis 2012 où il se produit régulièrement en concert avec le groupe « Bab Assalam » et accompagne en tournée la chanteuse syrienne Noma Omran.
En 2013, il créé le trio « Exil » avec son frère Khaled Aljaramani et le contrebassiste français Olivier Moret. Ils enregistrent l’album « Exil » en 2014.
Il enregistre l’album « Zyriab » avec le groupe « Bab Assalam » en 2015, qui sera suivi d’une tournée (forum Babel Med 2017 à Marseille, Théâtre de la Croix Rousse à Lyon…).
En 2016, il fait une tournée avec La Maison des Cultures du Monde à l’Opéra de Lyon et à La Maison des Cultures du Monde à Paris avec le chanteur syrien Hamam Khairy puis à la Philharmonie de Paris et à l’auditorium de Poitiers en 2017 avec la chanteuse syrienne Waed Bouhassoun.
En 2017, il enregistre le CD « Le Luth Andalou » (Harmonia Mundi), conte musical de Claude Clément, musique d’Abed Azrié.